Data updated on 2025-04-28 20:20:00 UTC
Lulu Van Trapp est plus qu’un groupe : c’est un totem, un cri de ralliement.
Leur musique est une plongée effrénée dans les tréfonds de la capitale qui les a vus naître, humainement et artistiquement. Un lieu mouvant où tout se croise, qui rassemble dans un mélange de fête et de dystopie, éloge de la belle noirceur.
Depuis ses débuts, cette famille choisie fait coïncider son esprit résolument punk avec une volonté pop évidente, au sens populaire du terme. Et livre des chansons épiques, sensibles, croisant les guitares saturées et les synthétiseurs massifs.
Leur premier album paru en 2021, I’m Not Here To Save The World, voyait déjà leur patte sonore s’affirmer, tout en mobilisant des genres bien identifiés : le rock là, les musiques jamaïcaines ici, l’électronique anglaise aussi. Cette fois, Lulu Van Trapp annonce son retour avec un deuxième album LOVECITY qui se défait des appellations bien trop étroites pour contenir les aspirations du groupe. « Notre envie, c’est de jouer une musique sur laquelle tout le monde peut danser, inclusive. On vit dans un monde éclaté musicalement, structurellement et psychologiquement. Le fait d’avoir une démarche pop mobilise l’idée de carrefour, de Constantinople musical. ». En concert, en festival, à la Fashion Week, Lulu Van Trapp se pose en groupe de tous les interdits.
Leur musique est une plongée effrénée dans les tréfonds de la capitale qui les a vus naître, humainement et artistiquement. Un lieu mouvant où tout se croise, qui rassemble dans un mélange de fête et de dystopie, éloge de la belle noirceur.
Depuis ses débuts, cette famille choisie fait coïncider son esprit résolument punk avec une volonté pop évidente, au sens populaire du terme. Et livre des chansons épiques, sensibles, croisant les guitares saturées et les synthétiseurs massifs.
Leur premier album paru en 2021, I’m Not Here To Save The World, voyait déjà leur patte sonore s’affirmer, tout en mobilisant des genres bien identifiés : le rock là, les musiques jamaïcaines ici, l’électronique anglaise aussi. Cette fois, Lulu Van Trapp annonce son retour avec un deuxième album LOVECITY qui se défait des appellations bien trop étroites pour contenir les aspirations du groupe. « Notre envie, c’est de jouer une musique sur laquelle tout le monde peut danser, inclusive. On vit dans un monde éclaté musicalement, structurellement et psychologiquement. Le fait d’avoir une démarche pop mobilise l’idée de carrefour, de Constantinople musical. ». En concert, en festival, à la Fashion Week, Lulu Van Trapp se pose en groupe de tous les interdits.
Genres
: french popMonthly listeners
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